samedi 13 février 2010

Les billets de X dollars et le 11 septembre


Vous le savez peut être, il y a un mystère qui devient plus célèbre chaque jour : les images fort ressemblantes des tours en feu à NYC, cf. le noir 11 septembre 2001, que l’on obtient en pliant les billets de 20, 50 et 100 dollars, en forme… d’avion ! On nous explique en supplément que le « design » des billets de l’angoisse date de 1996. Frémissez, supputez, tremblez bonnes gens. Complot fumant garanti !
Si vous êtes encore un ignorant en ce domaine, courez immédiatement sur Youtube et tapez le titre de cette chronique, vous aurez toutes les explications nécessaires qui entretiennent cette légende urbaine de niveau 34. C’est trop fort ! Participant à la fête de la rumeur, je vous donne ci-après ma bonne théorie à la sauce pimentée de la fiction.
Alors voilà ! Bin Ladine avait tout planifié depuis 1995 ! Il vivait à Washington, sous le nom de Burqa Padkoi, déguisé en femme. Il savait parfaitement que cinq ans plus tard, ses sbires fanatisés allaient chouraver une demi douzaine de Boeings’ et les emplafonner dans les Twin, le Pentagone et why not le Capitole. Tout se déroulerait comme il le voulait, il avait des Post-It jaunes et rose fluo plein sa chambre, avec tout dessiné dessus. D’ailleurs le grand yaka de la CIA et Bush père et son fiston, lui avaient donné carte blanche après un ultime briefing top secret dans le bar juste à côté du Mont Rushmore, grimés en touristes du Nebraska. Ils lui avaient dit : « tu tapes un Strike dans les buildings et nous on te fait la gueule officiellement, puis on attaque l’Irak avec un max de missiles et plein de Marines et en plus on touche les bénéfices des sociétés d’armes et de logistique militaro-industrielle dans lesquelles on a plein d’actions ! Tu reprendras un peu de milk-shake, car nous, on va avoir besoin d’un doughnut de plus, vu qu’on a juste eu un burger à midi entre deux réunions ». Bin Ladine, était rentré dans sa chambre de bonne à Washington, puis s’était alors fait copain avec le mari de la graveuse en chef de l’imprimerie des billets de banque. Oui ! Il savait que les ricains prévoyaient une nouvelle série de biftons verts. A coups d’imbroglios et de magouilles, il a réussi… une nuit (oui, parce que « un jour » c’est un peu faible dans une histoire mystérieuse), une nuit donc, il a recopié habilement les dessins de ses Post-It sur les plaques de gravage. Ainsi, se disait-il, on se souviendra de moi et que j’avais tout comploté à la menthe, « dipuis mel nof cen quatr’ vin t’sèèèze », ricana-t-il avec son inimitable accent du sud Yémen. Il se doutait bien que ses amis du moment, certes lui avaient offert un deuxième milk-shake, mais que le moment venu, lui balanceraient sans hésiter des missiles sol-sol, mer-mer, sol-mer et même solstice dans la barbe, fut-il déguisé en femme, en touriste du Nebraska, voire planqué dans une caverne profonde, et se faisant aussi plat qu’un billet de 20 dollars. Véridique !

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