"Je voudrais que quelqu'un vienne et m'explique..", dit souvent un ami à moi.Oui ! dans la vie, tant de mystères, tant de questions sans réponse. Ceci est une série de chroniques, anamnèses, pensées, remarques, billets d'humeur avec digressions mais sans prétention autre que d'exprimer un point de vue parce que je me pose des questions et justement je voudrais que quelqu'un vienne et m'explique....
mercredi 25 novembre 2009
24 heures sans...
Vous l’avez peut être lu, le 1er mars 2010, ce sera la journée sans travail ni achats des immigrés de France, pour démontrer à ce gouvernement qui ne les aime guère et aux 15 pour cent d’électeurs toujours prêts à les jeter dans la Méditerranée qu’ils sont pour le moins utiles, et au plus indispensables dans l’hexagone.
Original.
Pan dans le pif de l’identi-haine nazionale ? Coup dans l’eau ? Média-tic un peu toc ?
Nous verrons bien.
Excellente idée, moi-même je ne ferai pas grand-chose ce jour là, par solidarité…
Ceci dit, cela donne des idées de « 24 heures sans… »
Allons-y.
Sans respirer : cela risque d’être un peu tendu.
Sans la TV : trop facile.
Sans chemise et sans pantalon : OK mais le 1er août.
Sans culotte : une révolution ?
Sans SMS : hmmm un peu plus délicat.
Sans dire de bêtises : je ne peux pas !
Sans Internet : je veux bien essayer.
Sans dépenser un centime : mais comment faire ?
Sans musique : ce serait bien triste.
Sans manger : carême en jeûne, ramadan du fond.
Sans alcool : mais Brest est dispensée
Sans électricité : buffet froid à prévoir
Sans penser : euh, je ne veux pas être méchant, mais bon…
Sans travailler : toujours bon à prendre.
Sans vélos, ni motos, ni autos, ni landaus : le silence comme récompense.
Sans chiens dans les rues : chat alors !
Sans issue : impasse temps mort
Sans impolitesse : bonjour, pardon, excusez-moi, après vous
Sans personne : chacun reste sous sa couette et relit Proust.
Sans nous : c’est prévu le 21 décembre 2012 d’après les Mayas ou les Aztèques, ce n’est pas très clair, bref ceux-là mêmes qui savaient tout mieux que tout le monde en fumant des champignons et en rêvant de serpents à plumes mais qui n’ont pas anticipé que les conquistadors allaient tout leur piquer, brûler leurs maisons, fondre leur or, leur coller la varicelle, la grippe A, B, C et D, le whisky, le coca, le chômage et la notion d’immigration mon pote et à cheval les gars , à grands coups de sabres aiguisés, de mousquets fumants et de hallebardes pointues.
Sans regrets ? Allez, ce serait bien !
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Excellent Jérôme ;)
RépondreSupprimerA bientôt ! Toujours un plaisir de venir ici...
Amicalement
Raphaël